🍽️ L’esprit du plat
C’est une recette qui respire le soleil : un poisson doré à la poêle, des légumes croquants, une salsa de mangue acidulée. L’équilibre entre mer et fruits tropicaux. Le tout se prépare facilement, sans excès d’ustensiles, juste avec un bon Santoku Forgava, compagnon idéal pour des coupes nettes et précises.
🔪 Le couteau à utiliser
Un couteau bien choisi, c’est déjà une partie du plat réussie.
🌿 Ingrédients (pour 2 personnes)
Pour le poisson :
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2 pavés de poisson blanc (cabillaud, bar ou mahi-mahi)
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1 c. à soupe d’huile d’olive
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Fleur de sel, poivre du moulin
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Une noisette de beurre
Pour la salsa de mangue :
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1 mangue mûre
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Le jus d’un demi citron vert
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1/4 d’oignon rouge finement ciselé
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Quelques feuilles de coriandre fraîche
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Une pointe de piment (facultatif)
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Sel, poivre
Pour les légumes sautés :
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1/2 courgette
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1/2 poivron rouge
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1 carotte
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3 champignons de Paris
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Un filet d’huile d’olive
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Quelques pousses ou fleurs comestibles pour la finition
👨🍳 Préparation
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Les légumes
Avec ton Santoku Forgava, taille les légumes en bâtonnets fins ou en rondelles selon ton style. Fais-les revenir à feu vif dans une poêle avec un filet d’huile d’olive pendant 3 à 4 minutes, juste le temps de les attendrir sans les ramollir. Sale légèrement, réserve au chaud. -
La salsa de mangue
Toujours au Santoku, découpe la mangue en petits cubes réguliers. Ajoute l’oignon rouge, la coriandre, le citron vert, le piment, le sel et le poivre. Mélange, goûte, ajuste. Mets au frais. -
Le poisson
Sale et poivre les pavés. Fais chauffer l’huile d’olive dans une poêle antiadhésive et saisis le poisson côté peau d’abord, 3 à 4 minutes. Retourne-le, ajoute une noisette de beurre et arrose jusqu’à ce qu’il soit nacré et moelleux. -
Le dressage
Dispose les légumes en base, pose le poisson par-dessus, ajoute la salsa de mangue et quelques pousses fraîches. Un trait de citron vert pour le final.
✨ Le petit secret Forgava
Le Santoku n’est pas seulement un couteau japonais, c’est un prolongement de la main. Sa légèreté et son équilibre t’offrent une découpe intuitive — tu ressens le geste, pas l’effort.
Ce plat en est la preuve : un couteau, une poêle, un peu de feu, et l’envie de bien faire.
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